Petit recit

Une pale nuit de pleine lune, sur la campagne Aquilonienne...

Une ferme semblant d'extérieur ne plus être en activité, pourtant la vie y bat a l'intérieur.

Une jeune femme, blonde au cheveux mis-long ondulés, au visage fin s'endort paisiblement, dans cette grande battisse.

A l'extérieur, quelqu'un marche, faisant comme une ronde. Des allers retour entre le porche d'entré et la petite cours intérieur.
Puis sa marche cesse, d'un coup, comme prise dans de la glace qui aurait pu apparaitre instantanément, son regard se pose sur l'arrière, prêt d'une petite maison toute proche mais non collée a la ferme.

Sans bouger, elle fixe, regarde, est au aguets.
Un mouvement, une ombre se faufile derrière la maison.

La "sentinelle" sort délicatement sa lame, et approche tel un félin vers sa proie, vient coller son dos contre le mur et se laisse glisser vers le lieu où quelque instants avant. Sans montrer le moindre signe de peur, et d'un geste rapide et presque sans erreur, presque fait machinalement elle bondit sur le coté pour regarder de l'autre coté du coin de mur.
Elle vit une grande forme, se tenant sur deux espèce de pattes velues, avec une tête de créature comme celle dont on parle prêt de Tesso. La bête mesurait bien une fois et demi sa taille. La sentinelle eut comme un tout léger choc en la voyant, elle ne s'attendait pas du tout a cela, mais dans la seconde qui suivit ce choc, elle se lanca sur la bête, tentant de lui assener un coup d'épée sur le ventre, mais la bête recula d'un geste très rapide, comme si le vent lui guidait ses mouvements. Le monstre reprit ses appuis et se propulsa vers l'avant, sortant ses griffes de ce qu'on pourrait appeler des mains, ses griffes ricochèrent sur l'armure de la gardienne, puis glissant en faisant un bruit horriblement strident, elles s'enfoncèrent légèrement dans les épaules de la sentinelle.

Arghh!

Presque par reflexe, elle donna un coup d'épée sur la créature, l'entaillant sur le torse. Du sang sombre gicla sur son visage, elle cracha, le monstre recula et posa sa main sur son torse regardant son sang s'écoulé, puis elle lecha sa main. La gardienne se releva, lacha son épée et posa ses mains sur son armure, elle avait du mal a toucher ses plaies, cela lui faisait mal, la brulais et la percais comme si les griffes étaient encore là.
D'un geste plein de hargne elle retira son armure, la laissant tomber dans un bruit de metal sur un sol d'herbe et de terre, puis tomba a genoux les bras en crois tenant ses deux plaies, des larmes se mirent a couler de ses yeux, qu'elle leva au ciel et elle prononca quelque mots très doucement.

Elle baissa la tête, puis se remit debout continuant a regarder le sol, du sang coulait sur elle, dégoulinant sur sa poitrine, salissant son collier, ses cheveux détachés avait le bout des mèches rougit par tout ce sang.
La créature avanca lentement, comme si sa prochaine attaque se voulait lente, puis elle bondit en avant la gueule ouverte, montrant aux rayons de lune sa dentition féroche et monstrueuse.
La gardienne a demi-nue, fit un geste qu'aucun guerriers aurait crut faire, elle se positionna comme pour encaisser, se postant sur ses jambes presque devenus des pilliers.

Je ne contiens plus...meurs...

Sa peau changeais, par endroit d'étrange parcelle se changeaint en une sorte de "pierre". Elle attrapa le monstre au vol, par la gueule lui tenant de chaque main, le haut et le bas de cette bouche animal grande ouverte. Le monstre tenta de se débattre et là où ses griffes frappaient la peau de la gardienne changeait, devenant pierre puis soudainement peau, laissant que quelque marque anodine. La jeunne femme ne broncha pas toujours la tête vers le bas, puis elle la releva d'un coup, laissant apparaitre en cette nuit si claire un visage couvert de larme et des yeux remplis de rouge, elle serrait les dents grognait légèrement.
La créature, comme prise d'une légère peur couina, avant de forcer avec sa machoire. La jeune femme serra de toute ses forces la bouche puante de la créature, puis elle écarta, écarta encore, des craquement se firent entendres, puis du sang gicla a nouveau sur son visage, la créature hurla, d'un son résonant presque jusqu'au mur de la Capital non loin.

La gardienne tomba a genou, la créature morte a ses pieds, la bouche écartelé. Un bruit de course se fit entendre et la jeunne femme qui dormait il y a peu apparut au coin du mur.

Soeurette ?!

La gardienne était en pleurs, se tenant le visage avec les mains.

Soeurette...Aldenya ma soeur?!

Elle retira ses mains du visage en entendant son nom et se tourna vers la jeune et belle femme.

Il s'est encore emparé de moi, je n'ai pu le contenir...je suis maudite Numa..maudite...Elle pleura de nouveau.

Numa posa sa main sur l'épaule d'Aldenya et soupira sans dire mots.
Plusieurs minutes passèrent sans qu'aucune des deux femmes ne disent quoi que ce soit puis...

Numa, je t'avais dis que la région n'était pas sur...regarde...il faut que tu fasse attention à toi ma soeur, très attention.

Numa posa une couverture sur la gardienne, et soupira à nouveau. Puis voulant détendre l'atmosphère qui regnait, dit :

J'aurais pu tuer cette...ce..machin toute seule. Elle tira la langue.
Aldenya, dessina un sourire et renifla cessant de pleurer, elle se remit debout et alla dans la petite maison soigner ses plaies.

Je t'aime ma soeur. Dit elle en s'asseyant sur le lit pour commencer a panser ses plaies.

mhm... Répondit Numa tout en repartant vers la maison où elle dormait si bien jusqu'a ceci.

Bravo !!!

Du sang et du suspense on en redemande

Merci

J'ai de la motivation pour écrire en ce moment !

faut pas que je la perde !!!


Bisou ma roussi d'amour !

HORS RECIT :
Autre personnages, existant ou non, autre histoire, encore une envie d'écrire, cela me vide la tête, me fait oublier qui et où je suis.
J'espère que la lecture vous plairat, j'attend vos critique avec impatience.
Je vous embrasse.
Aldy'.
FIN HORS RECIT.


Ma belle?
- Oui ? dit elle d'un air "innocent"
-Tes mains...lui répondit il sur un ton désignant une certaine lassitude.
-Tu es pas drôle mon lapin! Bon je veux tuer quelqu'un!
-Tu es pas croyable toi!
Elle rit doucement.

Les deux Cimmériens avancèrent doucement, courbés pour être le moins vu possible.
Ils se cachèrent dans un buisson, au abord d'une petite plaine ou un Stygien semblait chasser d'une drôle de façon quelque voyageurs.
La femme brune fit un tout petit rire, qu'elle cacha derrière sa main.

Hey, p'tit cul, tais toi tu va nous faire repérer! Dit l'homme d'un ton éternellement "blasé"
-Roooh tu es pas drole, nous deux dans les buissons ici...
-Ouai...on verra plus tard.

Ils avancèrent sans faire de bruit, malgré leurs grandes tailles a l'un et l'autre, puis sortir leurs arcs, tirèrent délicatement une flèche de leurs carquois rudimentaire et ils semirent en position de tir.
L'un a coté de l'autre, dans un même geste, tirèrent la corde, tenant les plumes qui composait l'arrière de leurs flèches. L'homme tourna son regard vers la femme a la peau blanche tel la neige, elle croisa son regard et sans un mot comprirent ce que l'autre voulait dire.
En un instant, deux flèches vinrent se planter sur les jambes du Stygien, qui ne comprenait pas d'où cela venait.
Il sécroula au sol, hurlant de douleurs, alors que ses jambes ne lui répondait presque plus, percées par deux flèches. Il roula sur le coté puis l'autre, et s'arretat des larmes de douleurs et de colère au yeux.
C'est alors qu'il vu une grande femme, a la peau très pale, plutot musclée avec une cicatrice sur une joue et très peu vétue malgré le froid reignant dans la région. Malgré sa douleur il ne put s'empecher de regarder ses formes, puis il regarda plus haut observant le visage de la cimmérienne, il vit des yeux bleu comme le ciel en jour de soleil, des lèvres dessinant un sourire mailsain a faire peur a un mort, il croisa son regard et prit peur pour sa vie.

Ma belle...tu es vraiment sadique...achève le.
Fit une voix d'homme, marchant vers elle. Le Stygien vit alors un homme de grande stature, éllancé et fin malgré une musculature dévellopée, cet homme était roux, possedant une longue barbe ou deux petite tresse avaient été trésser. Le roux s'approcha de la brune et lui posa une main sur l'épaule non couverte par le haut qu'elle portait.
Je suis exitée! et contente mon lapin.
Dit elle d'un ton très pervers et sans jamais relaché sa proie des yeux.
Je les hais tous!
-Je sais ma belle...tue le.
Elle fît un pas en avant, prit une fleche de son casquois et se positionna pour tirer a bout portant sur le visage du Stygien qui supliait de ne pas mourir. Elle stopa son geste, non pas par pitié, mais par sadisme, se délectant presque des paroles de l'homme du sud.
Puis tira sur la corde....

Bien, on retourne chasser, p'tit cul ?
-Mhm...d'accord, mais je te paye un verre ce soir a l'auberge.
-bon d'accord...
-Oui!!!! Tiens, j'ai recu une lettre de l'autre folle du sud, je sais pas comment elle fait pour savoir où on est celle là.
-mhm?
-Tu sais! La barje du sud, qui dit qu'elle travaille pour une Aquilonniene.
-mhm..ah oui.
-Bon et bien elle met plusieurs descriptions d'individus et....
-et? dit il s'arretant a coté de sa femme qui ne marchait plus et semblait figée.
Ma belle? houhouuu...
-Regarde !! Elle tendit la lettre a l'homme.
-Par les couilles d'Ymir ! Il faut qu'on les trouves !
-Oh oui oh oui oh oui !
L'homme lacha la lettre, et ils se mirent a courir d'un seul coup vers le sud, semblant préssés de trouver quelque chose ou quelqu'un...

Plusieurs jours plus tard, un voyageur qui marchait trouva une lettre posé sur le pied d'un arbre, tel une feuille volante au grés du vent qui avait fini sa course chaotique au pied de l'arbre. Il la prit en main et pu lire :

Toi qu'on nomme colère courroux ou par bien d'autre nom, toi et ton homme voici ce que je vous demande de chasser.
Il s'en suivait des descriptions diverse d'homme et de femmes.
Le voyageur s'arretat sur la fin de la lettre.
Je peux vous assurer pour toute ces taches, l'équivalent du poids des corps en or.
Il relacha la lettre et d'un air amusée il dit:

pfff, qui pourrais croire cela, même Conan n'a pas autant d'or.
Il riat et poursuivi sa route.

HORS RECIT:

Bonjour, me voici de retour sur votre forum, j'espère que vous allez bien.
Je n'ai pas pu venir car j'étais en formation donc la journée plus d'accés PC, et le soir...sur aoc..

Je vous écris un nouveau petit texte, poster a la suite vos commentaires même si ils disent que c'est nuls, je veux vous "entendre" !

Ce récit n'est pas une véritable suite de celui du dessus. Mais ce sont les même protagoniste.

Je vous embrasse fort.

Aldy'.

FIN HORS RECIT.

La femme brune, ouvrit les yeux et vu qu'elle avait son bras sur le corps de son homme, collée à lui.
D'un geste rapide, elle s'écarta et jura! Elle se mit debout, hors du lit, et comme prise de colère, attrapa la chaise qui n'était pas loin, et elle l'explosa sur le mur non loin d'elle.

ARGH Catin du Sud !!! Ça fait du bien au réveil ! Ah ah !!

Le roux allongé sur le lit comme un pacha, ouvrit un œil.
Tu m'a réveillé p'tit cul... D'un air franchement blasé.
Nan ! Nan nan nan nan..."P'tit cul" comme tu dis là...tu le dis plus, t'en a pas voulu hier tu m'emmerde pas en m'appelant comme ca aujourd'hui! Répondit elle, sur un ton de furie.
Mouai... fit il.

Elle s'enerva encore et jura a plusieurs reprise, utilisant le nom d'Ymir et de sa fille ainsi que des parties du corps. Puis elle se laissa tomber dans un coin, se refermant sur elle même, genoux serrés contre sa poitrine.

Sur un ton plus calme, mais aussi triste elle dit:
Mon lapin, tu m'a vraiment blasée, ça me met en colère, je sais que tu en aura rien a faire de ces paroles, mais voilà, je voulais pas connaitre "ton monde" comme tu dis, mais maintenant c'est fait...j'ai l'air maline là...
Jte déteste pas mon roux...jte déteste pas...
Je veux pas être simplement celle qui tue a tes cotés...tu comprend ?

Il bascula sur le coté pour lui tourner le dos.
Mouai...

Sur ce mot, la cimmérienne se releva et son regard fut noire de colère et de déséspoir.
ARRÊTE AVEC TES "MOUAI"!!! MERDE !
Elle enfila avec hâte et énervement ce qui lui servait d'armure, pris sa hache et son arc et sortit en claquant la porte.

L'homme ne broncha pas et parla seul:
Elle est chiante...elle veut tout le temps que je la prenne, mais j'ai pas envie...bah j'la déteste pas non plus. Il dessina un sourire et referma les yeux pour se laisser à nouveau aller dans le sommeil.

Plusieurs heures passèrent, et d'un coup la porte vola en éclats. Le roux se releva en sursaut et agrippa son épée, prêt a en découdre, puis il la reposa d'un air terriblement déçu et blasé.
A coté de ce qui reste de la pauvre porte, se tenait la jeune femme brune, couverte de sang, tenant une tête d'un blond dans la main.
Elle grogna.

Tu m'as encore réveillé...
- Tais toi, mon lapin!
-mhm...qu'est-ce que t'as fait encore?
-J'suis partie me calmer les nerfs, et j'ai voulu aller boire un truc fort, tu sais histoire de me rechauffer TOUTE SEULE ! Elle insista bien sur ces mots.
Puis, ya cet Aesir là, il vient me voir...Elle jeta la tête au sol, qui roula prêt du lit, laissant derrière elle un sillage et un dessin de sang.
Et il commence a me parler, je savais qu'il voulait mes fesses ca se sentait! Alors jsuis rentrée dans son jeu...
Il l'a coupa et lui dit : Nan? Toi ? Alors que...
Elle fit de même : Tais toi mon lapin je t'ai dis !
Je disais, j'suis rentrée dans son jeu, jl'ai laissé croire qu'il pourrait me prendre, alors on est sortie de l'auberge et là, je lui ais mis une droite, il a perdu plusieurs dents. Elle se mit a rire, ce qui entraina son homme à faire de même.
Après il a crut que je voulais qu'on soit violent pendant ça...ah ah ah! vraiment bête ces tête blondes!
Mais c'est là qu'il a posé sa main sur mon "p'tit cul" comme tu dis si bien, bah deux minutes après il l'avait pu sa main. Tu aurais du voir mon lapin, il hurlait et est tombé a genoux. Elle se mit a rire grassement.
Je l'ai alors regardé, j'ai rit, j'en pleurais de rire, pis j'ai pensé à toi mon bébé...si si..j'ai pensée que tu aurais été mort de rire aussi, alors je lui ais tranché la tête pour te la ramener et te dire a quel point jte hais pas ! Elle se mit a sourire, semblant plus détendue, puis ferma ce qui reste de la porte.
Elle avança souriante, ne lâchant pas du regard son homme, qui lui riait encore. Elle retira ses vêtements, pour se retrouver totalement nue, montât sur le lit et chevaucha son homme. Lui retrouva un air blasé et s'apprêtait a dire quelque chose quand il prit une gifle. La brune, se releva et marcha vers une bassine rempli d'eau.
Ca c'est pour hier soir mon lapin! Je vais me laver, j'ai trop de sang de l'autre idiot sur le corps...tu veux v'nir?
- N...
-"Nan" c'est ca?
-Ouai...
-Pfff, tu m'énerve...
-je sais...

Elle entra dans la grande bassine et se nettoya, retirant au mieux tout le sang qu'elle avait sur elle, colorant l'eau dans laquelle elle était.
Mon choux?
-mhm?
-On va chasser après?
-Si tu veux ouai..
-Merci mon lapin!
-"J'te hais pas" je sais...
Elle se mit a rire comme une enfant, d'un tout petit "hi hi hi" et continua a se nettoyer.